Photo de Celeste Barber

Tout part d’une discussion sur WhatsApp avec des amies. Nous nous Ă©changeons du contenu insolite pour Ă©gayer nos journĂ©es confinĂ©es.

Fred partage les publications de Celeste Barber, une Australienne produisant, avec les moyens du bord, une interprétation des photographies professionnelles dont nous sommes abreuvés dans les magazines de mode ou sur les blogs des célébrités.

Une publication en particulier a retenu mon attention. Il s’agit de celle-ci :


 qui, en retour, me fait penser à cet autoportrait de Francis Bacon:

Autoportrait Francis Bacon 1969
© The Estate of Francis Bacon. All rights reserved. DACS 2018

Puis les questions suivantes surgissent :

Qu’est-ce que le beau ? A partir de quand le beau devient-il ridicule ? Et puis, à partir de quand le ridicule devient-il beau ? Dans ce cas, quel est le point de bascule pour moi ?

Quels sont les points communs entre ces trois images ? Qu’est-ce qui les diffĂ©rencie ? 

Quelles hypothĂšses fais-je sur ce qui les diffĂ©rencie ? Et de connaĂźtre ces hypothĂšses, en quoi cela change-t-il ma perception de ces trois images ?

Et qu’en est-il de la norme, de ce que l’on appelle les canons de beautĂ©? Ils ont Ă©voluĂ© avec le temps. Est rendu dĂ©sirable ce que les publicitĂ©s nous montrent dĂ©sormais. Et pourtant, dans les cours de morphostyle et de morphovisage, nous apprenons qu’il y a des silhouettes et des visages de rĂ©fĂ©rence. Si vous ĂȘtes perdu(e)s entre les ovale, carrĂ©, huit, sablier, triangle inversĂ©, demandez Ă  mon amie Sandrine Linder. Elle saura vous rĂ©pondre!

Vous pourriez ĂȘtre intĂ©ressĂ©s par ceci.

Et pour vous, qu’est-ce que la beautĂ©?


Vers le site web de Celeste Barber  et vers son compte Instagram 

Vers le site internet officiel des ressources sur Francis Bacon